Disney a diffusé aujourd'hui la première bande-annonce officielle du très attendu Star Wars, épisode VII : Le Réveil de la Force, de J.J. Abrams.
Les internautes ne se sont pas privés pour disserter sur les scènes les plus étonnantes, comme un John Boyega transpirant dans un costume de stormtrooper ou un étrange robot-ballon que certains présentent déjà comme le prochain Jar Jar Binks en termes d'impopularité.
Mais c'est surtout la scène du Sith (un Jedi obscur) dans la forêt, ouvrant un sabre laser à double garde laser qui concentre l'attention.
La séquence n'est pas sans rappeler l'apparition dans Star Wars, épisode I : La Menace fantôme de Darth Maul, premier personnage de la saga à manier un sabre laser non conventionnel. Avec, là aussi, une ouverture en deux temps.
Sur NeoGAF, le très populaire forum anglophone consacré au jeu vidéo et à la culture populaire, on s'interroge sur l'origine de cette nouvelle arme. Certains lui prêtent comme source d'inspiration Henry Cooldown, l'un des adversaires du joueur dans le jeu vidéo japonais No More Heroes, dans lequel le héros se bat avec un sabre laser.
Sur Twitter, le compte du site Les Toiles héroïques fait lui remarquer qu'une telle sapine a déjà été vue dans l'univers de « Star Wars », et plus exactement dans l'univers étendu, c'est-à-dire l'ensemble des œuvres périphériques aux deux trilogies mais qui ne sont plus considérées comme canoniques depuis avril dernier. En l'occurrence, on la retrouve dans le comic Star Wars Republic 61: Dead End et dans le manuel du jeu de rôle Jedi Academy, précise au Monde.fr la même source.
Cela n'a pas empêché certains d'ironiser sur cette étonnante arme qu'on devine riche en fonctions inattendues, à l'image d'un confrère journaliste.
Toujours sur NeoGAF, un internaute répondant au pseudonyme OneEightZero s'est ainsi amusé à pousser un peu plus loin le concept.
Sous un commentaire ironiquement intitulé « Star Wars Episode VII spoilers », un certain Forkball s'est laissé aller à rappeler l'existence d'autres dérivés imaginaires non moins tortueux.
Seule certitude : vivement l'adaptation du film en jeu vidéo Lego.
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